Tabaski2020 : Les fidèles musulmans de Bobo-Dioulasso commémorent « le sacrifice d’Abraham » vendredi 31 juillet 2020. À l’instar des autres musulmans du monde entier, la communauté musulmane du Burkina Faso célèbre la fête de la Tabaski ou l’Aïd-El-Kébir ce vendredi 31 juillet 2020.
Après la décision unilatérale du président américain, Donald Trump, de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël, les craintes d’un soulèvement dans les territoires occupés et au-delà sont grandes. Lorsqu’il s’agit de Jérusalem, les solidarités qui s’expriment sont à la fois politiques – à l’égard des Palestiniens, qui rêvent eux aussi d’en faire la capitale de leur futur mais hypothétique État – et religieuses. Car Jérusalem est aussi la troisième ville sainte de l’islam, après La Mecque et Médine, selon la tradition 8 décembre, jour de prière hebdomadaire pour les musulmans, les regards se tournent donc vers l’esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est, lieu saint autour duquel des troubles éclatent souvent dans les périodes de la France, c’est un message de responsabilité et d’appel au calme qu’ont adressé les principaux responsables musulmans. À l’occasion de la prière du vendredi, le Conseil français du culte musulman encourage les fidèles musulmans à prier pour trouver une issue pacifique à cette ville, trois fois sainte, et somme les musulmans de France à éviter le piège tendu de l’importation du conflit », écrit la principale instance chargée de l’organisation du culte musulman en d’embrasementDe son côté, le Rassemblement des musulmans de France RMF, proche du Maroc rappelle l’attachement spirituel indéfectible des musulmans du monde entier à cette ville » et met en garde contre un risque d’embrasement général », alors que s’effondrent les derniers espoirs d’une paix juste et durable au Proche-Orient ». Son président, Anouar Kbibech, appelle lui aussi les musulmans de France à prier pour la paix dans la ville sainte, lourde de symboles très forts pour l’ensemble des religions monothéistes ».Le CFCM indique également avoir sollicité et obtenu une audience à l’ambassade des États-Unis à Paris. Lors de cette rencontre, le CFCM a tenu à exprimer l’inquiétude et l’incompréhension des musulmans de France, face à une décision contraire au droit international et qui risque de raviver les tensions entre les communautés juives et musulmanes », souligne son président, Ahmet Ogras, qui fustige au passage les annonces irresponsables des instances juives de France ».Par la voix du Conseil représentatif des institutions juives de France et du Consistoire central, ces dernières ont emboîté le pas aux dirigeants israéliens et salué la décision de Donald Trump. Alors que les responsables juifs français ont coutume de dénoncer’la récupération du dossier palestinien’par les populations de France, ils endossent aujourd’hui une posture similaire », relève le ou engagement politiqueSur le plan politique, le CFCM et le RMF adoptent, quant à eux, une position de retenue et se gardent d’afficher un quelconque soutien. Tous deux saluent la sagesse » de la position française. Et s’en remettent au Conseil de Sécurité des Nations unies et à la communauté internationale » pour prendre les décisions nécessaires pour préserver la paix et la sécurité dans cette région meurtrie ».Mais, comme souvent, la fédération Musulmans de France ex-UOIF, branche française des Frères musulmans se démarque sur ce plan. Dans son communiqué daté du 7 décembre, elle choisit une nouvelle fois de tenir une parole plus politique, assumant clairement son engagement aux côtés des millions de Palestiniens qui vivent sous l’occupation » dans l’injustice et l’arbitraire ».Tout en reconnaissant le rôle spirituel de Jérusalem pour les trois grandes religions monothéistes – et par conséquent pour la majorité des 7,5 milliards d’êtres humains vivant sur Terre », cette fédération tenante d’un islam politique alerte sur la situation globale de la région et des territoires occupés ». Et appelle la communauté internationale ..., l’Union Européenne et la France à contrecarrer la voix américaine et à soutenir tout processus de paix garantissant les droits des Palestiniens, conformément aux conventions internationales ». Parextension, il désigne désormais ce mois de jeûne auquel doivent se plier les fidèles musulmans. Pour aller plus loin, le ramadan constitue l’un des cinq (5) piliers de l’islam. Il s’ajoute à : la profession de foi (j’atteste qu’il n’y a pas d’autre Dieu qu’Allah et que Mahomet est son messager) ; la prière; l’aumône; le pèlerinage à la Mecque. Le ramadan commence Les musulmans ont le devoir de prier au moins cinq fois par jour. Ces prières sont à effectuer à la tombée de la nuit, à l’aube, à la mi-journée, pendant l’après-midi et au coucher du soleil. Si le calendrier religieux des musulmans est lunaire, leur cycle de prières est en revanche solaire. Ils ont donc une façon spéciale de calculer leurs horaires de prières, en se basant sur la position du soleil pendant la journée. Puisque les horaires varient en fonction de la position du soleil et changent avec les saisons, comment faire pour les définir ? Sommaire1 Les types de prières à des heures La Le L’Asr 2 Le crépuscule pour les prières Les types de prières à des heures précises Les 5 prières de l’Islam ont chacune leur propre nom. Elles sont définies à un moment précis de la journée. Les horaires de ces prières divergent toutefois selon les écoles juridiques ou mazhabs. Les méthodes de calcul sont également différentes et ne permettent pas d’avoir une homogénéité dans les horaires, que ce soit en France ou au Maroc. Les mosquées adaptent leurs horaires pour rassurer les fidèles. Pour connaître les heures de prière dans votre ville, vous pouvez vous rendre sur qui vous donnera plus de détails. La Fajr Il s’agit de la prière du matin. La Fajr s’effectue à l’aube et ne prend fin qu’à l’apparition d’une partie du soleil. C’est ce qu’on appelle le Chourouq, qui constitue la limite pour laquelle les musulmans doivent avoir effectué leur prière. L’aube peut se définir sous 2 aspects différents. Il peut s’agir de l’aube trompeuse, celle présentant brièvement des lueurs verticales sur une partie de l’horizon, et qui disparaissent. L’autre forme est l’aube véridique qui apparaît sous forme de lueur blanche couvrant l’horizon du Nord au Sud. Celle-ci ne disparaît qu’au lever du soleil. Le Dohr Deuxième prière du jour, le Dhuhr ou Dohr est réalisé en début d’après-midi. Cette prière a lieu lorsque le soleil se dirige vers son coucher et lorsqu’il a dépassé son zénith. La deuxième prière prend fin lorsque l’ombre d’un objet a la même taille que l’objet réel. L’Asr Il s’agit de la troisième prière à effectuer par les musulmans. Elle doit se faire entre la deuxième prière et le coucher du soleil, lorsque l’ombre d’un objet atteint 2 fois sa taille réelle. Le Maghrib C’est au moment du coucher du soleil et à la disparition totale de l’horizon que commence la quatrième prière. Le Maghrib ne prend fin que lorsque la lueur rouge disparaît totalement. L’Ichâ La cinquième et dernière prière est appelée l’Ichâ, elle doit être effectuée entre la tombée de la nuit et l’aube. Souhaitez-vous en savoir plus la religion islamique ? Visitez ce site qui vous propose une large sélection de livres sur l’islam. Le crépuscule pour les prières Grâce à l’atmosphère terrestre, une lueur diffuse la lumière du soleil avant le lever de celui-ci et après qu’il se couche. Cette lueur est autrement appelée l’aube pour le matin avant le lever du soleil, et crépuscule le soir après le coucher du soleil. En astronomie, le crépuscule se présente sous 3 formes différentes, notamment le crépuscule civil, nautique et astronomique. Ces derniers se définissent par l’angle obtenu par rapport au soleil et l’horizon. Pour le calcul de l’horaire, c’est l’angle de 15 ° qui correspond à l’observation pour les pays situés en zone normale ». En France, pour le crépuscule civil, le soleil se positionne à moins de 12 degrés de l’horizon. Lorsque le soleil se situe à un angle de 12 à 15 degrés de l’horizon, c’est là qu’on l’appelle un crépuscule nautique. Le crépuscule astronomique n’est ainsi nommé que lorsque le soleil s’aperçoit entre 15 et 18 ° de l’horizon. C’est dans ce dernier cas, lorsque la lueur a totalement disparu que le maghrib prend fin. Lemois de Ramadan, durant lequel les musulmans sont appelés à jeûner, commencera dimanche 5 mai. Les fidèles sont également invités à faire preuve de charité. À Il fallait concilier le souhait des musulmans de la ville de Zoetermeer, dans le centre des Pays-Bas située à 12 km de La Haye, et celui des proches riverains qui ne voulaient pas être dérangés par l’appel à la prière 5 fois par jour. Cela va se passer via une application, installée sur le smartphone. Concrètement, il n’y aura plus d’appel du muezzin dans cette ville. Pour que le projet de mosquée soit accepté par les autorités locales, il a été convenu de concevoir et de lancer une application qui sera disponible sur les principaux stores iOs et Android, en vue de prévenir les fidèles de l’appel à la prière. Cette question avait été soulevée lors du Conseil municipal par certains riverains qui s’inquiétaient des inconvénients éventuels de l’appel à la prière ». En vertu de la loi aux Pays-Bas, le Maire n’avait, de toute façon, pas le droit d’interdire cet appel, mais la solution a été apportée par les musulmans de la ville eux-mêmes, dans leur souci d’apaiser les tensions. L’association cultuelle locale a donc proposé de créer une application, aussi parce que de nombreux fidèles n’habitent pas à proximité de la future mosquée ». En outre, il a été question de la situation des places de stationnement, qui sont au nombre de 25, pour la future mosquée. Une trentaine de places sont également prévues pour les fidèles aux alentours. La mosquée s’attend à une affluence maximale de 200 personnes, les jours de pointe, comme le vendredi et les jours de fête. A partir du 21 juin prochain, le plan du projet sera accessible aux riverains désireux de s’informer sur la construction de la mosquée.
\n il appelle les fidèles musulmans à la prière
Leprésident du Conseil supérieur des affaires islamiques (CSAI), Cheikh Mahamat Khatir Issa, demande aux fidèles musulmans d'intensifier la prière et la lecture du Saint Coran face à la situation socio-politique que traverse le Tchad. Et ce, afin que règne la paix, la sécurité et la stabilité au Tchad en cette période de transition. Le candidat s'avance face au micro, costume noir et calotte blanche "Allahou Akbar, Allahou Akbar", entonne-t-il d'une voix lente, mains sur les oreilles et coudes en équerre, sous la pierre ocre sculptée en nids d'abeilles. En ce début d'été, cinq muezzins, religieux chargés d'appeler les musulmans à la prière cinq fois par jour, s'affrontent sous l'un des neuf dômes de la majestueuse Vieille mosquée d'Edirne, achevée en 1414, quand la ville du nord-ouest de la Turquie était capitale ottomane. Assis face aux candidats, les jurés prennent des notes. Au centre, le mufti Alettin Bozkurt, autorité religieuse de la province, désignera une heure plus tard au micro le muezzin ayant récité le plus bel ezan nom turc de l'appel à la prière, également appelé adhan. "J'ai commencé à dix ans, pendant les cours d'été à la mosquée", confie à l'AFP le vainqueur, Abdullah Ömer Erdogan, 25 ans, qui dit fuir le froid, privilégier l'eau tiède et éviter certaines positions pendant son sommeil pour protéger ses cordes vocales. S'il remporte la manche suivante fin juillet, le jeune muezzin, appareil dentaire et barbe impeccable, prendra part à la finale nationale prévue le 17 août, qui sacrera la plus belle voix parmi les centaines de muezzins qui se défient à travers le pays depuis début juin. - "Pouvoir de l'ezan" - En avril, deux muezzins turcs, dont l'un a un temps fait résonner sa voix sur la vieille ville d'Edirne, ont raflé les première et deuxième places d'un concours télévisé similaire organisé en Arabie saoudite, auquel s'étaient présentés des muezzins de 80 pays. Le muezzim Abdullah Ömer Erdogan, vainqueur du concours d'appel à la prière, à la Vieille mosquée d'Erdine, le 29 juin 2022 en Turquie AFP - Ozan KOSE Dans une vidéo publiée le lendemain par le lauréat, le président turc Recep Tayyip Erdogan, dévot musulman, lui adresse ses félicitations "Qu'Allah soit avec vous", lance le chef de l'Etat. Depuis son arrivée au pouvoir en 2003, initialement comme Premier ministre, près de nouvelles mosquées ont été construites à travers le pays, dont l'une sur l'emblématique place Taksim d'Istanbul, symbole d'une Turquie laïque, d'où son pouvoir avait été contesté en 2013 lors de manifestations antigouvernementales sans précédent. Le président, qui a également fait bâtir la plus grande mosquée de Turquie sur la colline stambouliote de Camlica et a reconverti en 2020 l'ex-basilique Sainte-Sophie en mosquée, a en parallèle donné à l'appel à la prière un caractère éminemment politique. La nuit du 16 juillet 2016, en pleine tentative de coup d'Etat, les imams et muezzins des quelque mosquées de Turquie avaient, via les haut-parleurs des minarets, exhorté les fidèles à faire barrage aux putschistes, en écho à une intervention peu avant à la télévision du chef de l'Etat via l'application FaceTime. Des muezzins attendent de participer au concours d'appel à la prière, à la Vieille mosquée d'Erdine, le 29 juin 2022 en Turquie AFP - Ozan KOSE "Cette nuit-là, nous avons vu le pouvoir de l'ezan", se remémore le mufti d'Edirne. "Grâce à lui, nous avons appelé le peuple à sortir dans les rues et avons sauvé notre pays." M. Erdogan, qui jouera sa réélection en juin 2023, accuse par ailleurs ses opposants de vouloir bâillonner les mosquées "ils ne pourront pas faire taire l'ezan !", a-t-il lancé à plusieurs reprises, bien que cette proposition ne figure au programme d'aucun parti. - "rejet croissant" - Dans un pays presque exclusivement musulman mais constitutionnellement laïque, cette politisation de l'appel à prière a contribué à le rendre agaçant aux oreilles de certains. le mufti Alettin Bozkurt lors d'une interview à la Vieille mosquée d'Erdine, le 29 juin 2022 en Turquie AFP - Ozan KOSE "Il y a un sentiment répandu parmi les laïcs que le volume de l'ezan a augmenté depuis la tentative de coup d'État, dans le cadre des tentatives de l'actuel régime de transformer la sphère publique", estime Erol Koymen, post-doctorant en ethnomusicologie à l'université de Chicago. "Cela a conduit à un rejet croissant de l'ezan toujours parmi les laïcs", affirme le chercheur, auteur de travaux sur le rôle de l'ezan dans la résistance au putsch manqué de 2016. Depuis 2017, la très puissante Direction des affaires religieuses Diyanet demande toutefois aux mosquées de "veiller à ne pas dépasser les 80 décibels" lors des appels à la prière, une limite trop élevée ou mal respectée selon certains Turcs. L'an dernier, quand le gouvernement saoudien a ordonné de limiter le volume des haut-parleurs des mosquées au tiers de leur capacité maximale, invoquant la santé des enfants et des personnes âgées, des réactions envieuses ont émergé en Turquie sur les réseaux sociaux. Dans la Vieille mosquée d'Edirne, le mufti Alettin Bozkurt s'offusque que d'aucuns veuillent mettre les mosquées en sourdine "L'ezan est un droit légal!", assène-t-il. "Tout comme les chrétiens peuvent facilement entendre les cloches des églises, tous les musulmans doivent être en mesure d'entendre l'appel à la prière." Enprésence de quelque 6 500 fidèles musulmans, l’inauguration a donc eu lieu pour la prière de 13 heures. La mosquée, flambant neuve, peut désormais accueillir jusqu’à 4 000 fidèles Cette année, les musulmans de France n’ont pas pu accomplir la prière de l’Aïd marquant la fin du ramadan dans les mosquées. En effet, la pandémie du coronavirus a rendu impossible le respect des gestes barrières imposées par le gouvernement. En effet, par ordonnance en date du 18 mai 2020, le juge des référés du Conseil d’État à ordonné au Gouvernement de lever l’interdiction générale et absolue de réunion dans les lieux de culte et d’édicter à sa place des mesures strictement proportionnées aux risques sanitaires et appropriées en ce début de déconfinement ». Un jour avant la fête, le ministre de l’intérieur a émis ordonnance avec les recommandations pour les prières collectives. Le décret concernait notamment la mise en place obligatoire de mesures de distanciation, de gestes barrières et la mise à disposition de produits d’hygiène pour les fidèles. Les associations cultuelles n’ont pas pu organiser la prière de l’Aïd Au regard de la gravité de la crise sanitaire actuelle et l’impératif de respect de la santé de ses membres, les associations cultuelles ont décidé, à une très importante majorité, d’inviter les fidèles à faire la prière de l’Aïd chez eux. Ces associations ont souligné les difficultés pratiques de mise en place des mesures édictées par le ministère pour le respect de la santé des fidèles, incluant notamment des règles de distanciation sociale difficiles à faire appliquer et occasionnant des coûts importants. Il faut également préciser que les associations ont préféré ne pas prendre de risque pour les fidèles au regard de la tardiveté de l’annonce du ministère concernant les mesures à prendre, et la nécessité de mettre en place en urgence des règles très strictes. URGENT Malgré le nouveau décret du gouvernement, la prière de l’Aïd n’aura pas lieu dans les mosquées de France – CFCM CFCM CfcmOfficiel May 23, 2020 Ainsi, le Conseil français du culte musulman CFCM, le Milli Gorus, le CCMTF Comité de Coordination des Musulmans Turcs de France qui dépend du DITIB et les autres mosquées ont émis des préconisations claires et strictes aux lieux de culte musulmans, invitant chacun à ne pas organiser de prière collective pour l’Aïd. Ces recommandations avaient également été prises après consultation de spécialistes de la lutte contre le Covid 19, en matière sanitaire. Ce dimanche 24 mai 2020, l’extrême majorité des associations culturelles musulmanes a donc fait preuve de responsabilité en appelant les fidèles à rester chez eux pendant l’Aid. Quelques rares exceptions sont néanmoins à noter. L’association de Cergy-Pontoise organise quand même la prière L’Association DITIB de Cergy-Pontoise a organisé une prière de l’Aïd, en réunissant près de 200 personnes. Cette prière a eu lieu alors même que le DITIB dont est membre cette association, avait appelé les fidèles à rester chez eux. Néanmoins, la direction a pu rassembler les fidèles à l’extérieur de la mosquée tout en respectant les règles distanciations sociales. La direction du DITIB n’ont pas communiqué, pour le moment, concernant ce non-respect des mesures sanitaires par l’association DITIB de Cergy-Pontoise. Les mosquées veulent attendre début juin pour faire savoir les décisions concernant la reprise progressive des prières. Par ailleurs, des fidèles à Levallois-Perret en région parisienne ont pu fait faire la prière de l’Aïd dans un complexe sportif de la ville. Ainsi, les musulmans ont pu respecter toutes les préconisations sanitaires obligatoires dictées par le ministre de l’intérieur. A noter que l’Allemagne avait pris les devants en autorisant les prières collectives quelques semaines plutôt. Cela a permis aux musulmans d’Allemagne de préparer en amont la prière de l’Aïd. Ainsi, un magasin IKEA a mis à disposition des musulmans son parking afin que les fidèles puissent accomplir la prière dans des conditions saines. Grand bravo à ce magasin IKEA en Allemagne qui a répondu favorable a la communauté musulmane pour étaler la prière de l’Aïd sur son parking afin de respecter la distanciation sociale. Vielen Dank Riad Kaced riadkaced May 24, 2020
'La prière c'est mieux que Facebook''! Un muezzin égyptien a été suspendu après avoir été accusé par des habitants de son village d'avoir modifié l'appel à la prière de l'aube, a
"Dieu pleure, s'il voit ça" dans une grande mosquée de Châteauroux, comme partout ailleurs en France, la prière du vendredi a été dominée par l'attentat contre Charlie Hebdo, et suivie d'un rassemblement dénonçant les auteurs du carnage."Ces gens-là n'ont rien compris à la religion musulmane. C'est un comportement barbare", dit Boumedien Chbani, secrétaire de l'Association cultuelle et culturelle des Marocains de l'Indre ACCMI, qui gère la Mosquée des Bienfaiteurs à Châteauroux, un grand bâtiment récent en forme de halle, surmonté d'un toit en tôle rouge et d'un clocheton, mais sans minaret."Le Coran n'a jamais demandé de tuer", renchérit le président de l'association, Bouchaib Hamdani, deux jours après l'attentat qui a fait 12 morts au siège parisien de l'hebdomadaire la prière et le prêche -en arabe, puis en français- de l'imam marocain Hassan Fadili, faisant l'éloge de la "miséricorde et la compassion" du prophète Mahomet, y compris envers les animaux, les quelque 300 fidèles se rassemblent devant la mosquée, la plus importante des trois lieux de culte musulman de le parking, dans un quartier HLM, ils rejoignent sous un crachin tenace une trentaine de non-musulmans, certains portant des badges frappés du mot d'ordre "Je suis Charlie", en français et en par des fidèles, jeunes et vieux mêlés, en habit de ville ou en gandoura, des banderoles proclament "défendons les valeurs républicaines", "non à la violence", "Condamnation - indignation".Des femmes soutiennent un calicot "l'islam = paix, tolérance, respect". Dans la petite foule, des pancartes comme "le terrorisme n'a pas de religion", "sans foi ni loi"."Celui qui n'est pas miséricordieux envers les hommes n'aura pas droit à la miséricorde d'Allah", avait tonné auparavant l'imam , vêtu d'une djellaba immaculée, du haut du minbar chaire. Stigmatisant des terroristes qui "salissent l'image de l'islam", le religieux a souligné que "nous, les musulmans, nous sommes aussi les victimes directes ou indirectes de tels agissements", avant de mener la prière des fidèles prosternés devant le mihrab, indiquant la direction de la le groupe de fidèles rassemblés face à la mosquée, le vice-président de l'ACCMI, Faouzi Jawadi, appelle sous les applaudissements "tous" les fidèles à participer au rassemblement organisé dimanche devant la appel relayé dans la plupart des mosquées du pays, comme à Paris par l'imam Abdel Qader Achour, de la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbaud XIe arrondissement. "Nous allons tous y aller", a assuré à l'AFP un fidèle, Mahmoud 'Patience' face aux provocations -"Oui, j'irai à la manifestation", a proclamé l'imam Chabbar Taieb, de la mosquée Ali, rue du faubourg Saint-Denis à Paris, qui a demandé aux fidèles "de faire preuve de patience face à d'éventuelles provocations anti-musulmanes".A la grande mosquée de Paris, le recteur Dalil Boubakeur a lancé "un appel solennel à tous les musulmans de France pour participer ... à la journée" de manifestation de dimanche."Tout le monde est bouleversé et ému par la tuerie qui a eu lieu à Paris", a déclaré en chaire l'imam Belgacem Ben Saïd, de la mosquée Assalam de Nantes. "En janvier 2006, quand il y a eu les caricatures du prophète Mahomet, nous étions les premiers à condamner ces images et ces caricatures. Mais rien ne peut justifier une telle violence", a-t-il tonné. "A la caricature, nous répondons par la caricature, par un dessin, à un article de presse par un article, à une interview par une interview. Mais on ne répond pas avec les armes. On ne met pas sur le même plan un dessin et une kalachnikov", s'est indigné l'imam Mustafa Riad de la mosquée de l'Union à Montpellier, devant 300 fidèles."Je fais appel à vous, à tous les musulmans de Marseille" pour participer au rassemblement prévu samedi, a lancé du haut de sa chaire l'imam Mohsen N'gazou. "Il faut que la société voie sa composante musulmane participer... avec nos chibanis anciens, nos femmes, nos jeunes" a-t-il Strasbourg, où un millier de fidèles ont pris part à la prière à la Grande Mosquée, l'imam Mohamed Moussaoui a lancé un appel à la "vigilance" pour préserver la "sécurité" de la France. "Malheur à celui qui effraie les gens chez eux ou ailleurs", a-t-il dit. "Nous vivons dans ce pays et il vous incombe à tous de préserver sa tranquillité", a-t-il insisté en souhaitant "que la justice passe"."On est pris en otages entre les extrémistes religieux et les extrémistes politiques", a dit à l'AFP Abdelkarim Ramdane, un jeune conseiller municipal venu assister à la prière qui s'interroge "comment créer des ponts pour éviter de rentrer dans la brèche de violence?"09/01/2015 182459 - Châteauroux AFP - Par Denis ROUSSEAU avec les bureaux de l'AFP - © 2015 AFP Ilest 8 h 30, les fidèles musulmans se forçaient sur la pluie pour effectuer les deux rakates de la tabaski. Mais Hélas !! Ils seront empêchés par la pluie .Et c’est autour de 9h 00 "Dieu pleure, s'il voit ça" dans une grande mosquée de Châteauroux, comme partout ailleurs en France, la prière du vendredi a été dominée par l'attentat contre Charlie Hebdo, et suivie d'un rassemblement dénonçant les auteurs du carnage."Ces gens-là n'ont rien compris à la religion musulmane. C'est un comportement barbare", dit Boumedien Chbani, secrétaire de l'Association cultuelle et culturelle des Marocains de l'Indre ACCMI, qui gère la Mosquée des Bienfaiteurs à Châteauroux, un grand bâtiment récent en forme de halle, surmonté d'un toit en tôle rouge et d'un clocheton, mais sans minaret."Le Coran n'a jamais demandé de tuer", renchérit le président de l'association, Bouchaib Hamdani, deux jours après l'attentat qui a fait 12 morts au siège parisien de l'hebdomadaire la prière et le prêche -en arabe, puis en français- de l'imam marocain Hassan Fadili, faisant l'éloge de la "miséricorde et la compassion" du prophète Mahomet, y compris envers les animaux, les quelque 300 fidèles se rassemblent devant la mosquée, la plus importante des trois lieux de culte musulman de le parking, dans un quartier HLM, ils rejoignent sous un crachin tenace une trentaine de non-musulmans, certains portant des badges frappés du mot d'ordre "Je suis Charlie", en français et en par des fidèles, jeunes et vieux mêlés, en habit de ville ou en gandoura, des banderoles proclament "défendons les valeurs républicaines", "non à la violence", "Condamnation - indignation".Des femmes soutiennent un calicot "l'islam = paix, tolérance, respect". Dans la petite foule, des pancartes comme "le terrorisme n'a pas de religion", "sans foi ni loi"."Celui qui n'est pas miséricordieux envers les hommes n'aura pas droit à la miséricorde d'Allah", avait tonné auparavant l'imam , vêtu d'une djellaba immaculée, du haut du minbar chaire. Stigmatisant des terroristes qui "salissent l'image de l'islam", le religieux a souligné que "nous, les musulmans, nous sommes aussi les victimes directes ou indirectes de tels agissements", avant de mener la prière des fidèles prosternés devant le mihrab, indiquant la direction de la le groupe de fidèles rassemblés face à la mosquée, le vice-président de l'ACCMI, Faouzi Jawadi, appelle sous les applaudissements "tous" les fidèles à participer au rassemblement organisé dimanche devant la appel relayé dans la plupart des mosquées du pays, comme à Paris par l'imam Abdel Qader Achour, de la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbaud XIe arrondissement. "Nous allons tous y aller", a assuré à l'AFP un fidèle, Mahmoud 'Patience' face aux provocations -"Oui, j'irai à la manifestation", a proclamé l'imam Chabbar Taieb, de la mosquée Ali, rue du faubourg Saint-Denis à Paris, qui a demandé aux fidèles "de faire preuve de patience face à d'éventuelles provocations anti-musulmanes".A la grande mosquée de Paris, le recteur Dalil Boubakeur a lancé "un appel solennel à tous les musulmans de France pour participer … à la journée" de manifestation de dimanche."Tout le monde est bouleversé et ému par la tuerie qui a eu lieu à Paris", a déclaré en chaire l'imam Belgacem Ben Saïd, de la mosquée Assalam de Nantes. "En janvier 2006, quand il y a eu les caricatures du prophète Mahomet, nous étions les premiers à condamner ces images et ces caricatures. Mais rien ne peut justifier une telle violence", a-t-il tonné. "A la caricature, nous répondons par la caricature, par un dessin, à un article de presse par un article, à une interview par une interview. Mais on ne répond pas avec les armes. On ne met pas sur le même plan un dessin et une kalachnikov", s'est indigné l’imam Mustafa Riad de la mosquée de l'Union à Montpellier, devant 300 fidèles."Je fais appel à vous, à tous les musulmans de Marseille" pour participer au rassemblement prévu samedi, a lancé du haut de sa chaire l'imam Mohsen N'gazou. "Il faut que la société voie sa composante musulmane participer... avec nos chibanis anciens, nos femmes, nos jeunes" a-t-il Strasbourg, où un millier de fidèles ont pris part à la prière à la Grande Mosquée, l'imam Mohamed Moussaoui a lancé un appel à la "vigilance" pour préserver la "sécurité" de la France. "Malheur à celui qui effraie les gens chez eux ou ailleurs", a-t-il dit. "Nous vivons dans ce pays et il vous incombe à tous de préserver sa tranquillité", a-t-il insisté en souhaitant "que la justice passe"."On est pris en otages entre les extrémistes religieux et les extrémistes politiques", a dit à l'AFP Abdelkarim Ramdane, un jeune conseiller municipal venu assister à la prière qui s'interroge "comment créer des ponts pour éviter de rentrer dans la brèche de violence?" 6SuxRf.
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